Au fil d’une série de propagandes menées par l’industrie des produits cosmétiques, la santé et la beauté s’associent à la jeunesse pour transformer l’âge d’or en un âge d’un métal oxydé (ou rangé). À une époque où l’impératif de rester jeune est encore plus fort, le stéréotype féminin est celui d’une femme sans rides; il ne paraît donc pas étrange de dénoncer la vieillesse et d’associer la jeunesse à un idéal féminin au moment où « [l]es signes du vieillissement sont perçus comme une calamité que l’on doit “corriger”. » (Réseau Québécois d’action pour la santé des femmes, 2001, p. 19) Ainsi, l’image des célébrités féminines — nous pensons à Marilyn Monroe — a contribué considérablement à la construction d’un imaginaire de la jeunesse au point d’en faire un mythe. Pour mieux étudier les signes de la jeunesse qui sont révélés par le visage de Marilyn Monroe, nous nous intéresserons à l’analyse de la Série Marilyn Monroe d’Andy Warhol, la couverture de l’album Celebration de Madonna et aux photographies d’Alix Bénézech qui sont extraites de son album photo sur Facebook.
En effet, plusieurs de ces femmes (Madonna, Alix Bénézech et beaucoup d’autres femmes que nous trouvons sur la page Facebook qui est réservée aux fans de la célébrité) désirent ressembler à Marilyn Monroe, au point où l’image qui est projetée de leur portrait fait de Marilyn Monroe un mythe : c’est là notre hypothèse de base.
Selon Roland Barthes :
Les mythes ne sont rien d’autre que cette sollicitation incessante, infatigable, cette exigence insidieuse et inflexible, qui veut que tous les hommes se reconnaissent dans cette image éternelle et pourtant datée qu’on a construite d’eux un jour comme si ce dût être pour tous les temps (Barthes, 1970, p. 230).
Nous proposons de considérer Marilyn Monroe comme un mythe afin de montrer comment et en quoi la mythification de cette figure féminine entraine à son tour une mythification de la jeunesse. En nous appuyant sur la théorie du mythe de Roland Barthes qui, affirmant que « certains objets deviennent proie de la parole mythique pendant un moment, puis ils disparaissent, d’autres prennent leur place, accèdent au mythe » (ibid., p. 182), nous espérons mettre à l’épreuve l’image de Monroe avec notre imaginaire contemporain de la jeunesse afin de questionner le sens de la femme mythifiée au sein de notre société.
L’idée du canon a été abordée et analysée par Philippe Perrot à travers le portrait féminin des XVIIe et XVIIIe siècles. Dans ce contexte, l’auteur a identifié certains traits récurrents comme la blancheur de la peau, la rougeur des lèvres et les yeux bien maquillés pour assurer un regard séducteur. Cette idée du canon est reprise, au sein de notre société contemporaine, grâce à l’image du portrait de Marilyn Monroe qui est maintes fois reproduite. En effet, si l’on pense à un portrait de visage souriant à la peau blanche, aux cheveux blonds et mi-longs, au regard de biche et aux lèvres pulpeuses couvertes d’un rouge intense, le premier visage qui se dessine probablement dans notre esprit est celui de Marilyn Monroe. Pendant la seconde moitié du XXe siècle, la figure de cette célébrité a occupé les pages de Playboy et les grands écrans1. Même après son décès, les blogs2 et les pages Facebook3 (comme par exemple les pages : Marilyn Monroe Fan club (244 081 fans) et Marilyn Monroe (725 567 fans)) qui réunissent les fans de la célébrité nous permettent de remarquer qu’actuellement, l’image de Marilyn Monroe ne cesse d’être investie par les générations subséquentes. Par ailleurs, nous pensons que « Marilyn [qui] était un “produit” dans les années 50 : adulée de tous, fantasme des hommes » (Pique, Paquet, 2009, p. 6) et représentant l’image de la femme sexy et du glamour de ces années-là, demeure un mythe de l’image féminine de la beauté et de la jeunesse.
En retraçant progressivement l’itinéraire des différentes représentations du portrait de Marilyn Monroe, nous nous apercevons que la mythification de cette figure féminine se révèle, sur le plan visuel, par une reprise des traits de son visage par certaines chanteuses et actrices contemporaines (par exemple : Madonna et la jeune actrice française Alix Bénézech). D’ailleurs, après avoir été reproduit par Andy Warhol, le visage de Marilyn Monroe est repris dans le portrait de la chanteuse pop Madonna sur la couverture de son album Celebration, et nous retrouvons aussi les mêmes traits de ce visage dans les portraits photographiques d’Alix Bénézech qui sont publiés dans son album photo « photos blondes » sur son profil Facebook. Or, la reprise multipliée du visage de Marilyn Monroe nous amène à penser que ce visage est signifiant et que le mythe réside, effectivement, dans le visage de la célébrité, d’autant plus qu’il est répété et réifié par l’entremise de méthodes de communication de masse, telles que les médias.
Selon Barthes : « le mythe est un système de communication, c’est un message. On voit par là que le mythe ne saurait être un objet, un concept, ou une idée; c’est un mode de signification, c’est une forme » (Barthes, 1970, p. 181). Par ailleurs, le visage de Marilyn, en dépit de son aspect historique, est une représentation signifiante consistant à communiquer non pas une image féminine strictement individuelle, mais une image sociale collective. Ainsi, il semble nécessaire de scruter l’image et de ne pas seulement nous contenter de la représentation de Marilyn Monroe en tant que « produit » qui a souvent stimulé les fantasmes masculins.
Certes, comme Barthes le précise dans sa théorie du mythe, en plus du fondement historique du mythe et qu’en dépit de sa matière4, il demeure signifiant. Dans ce contexte, nous associons à la théorie de Barthes, l’analyse faite par Lois W. Banner dans son article « The Creature from the Black Lagoon : Marilyn Monroe and Whiteness », qui consiste en la mise en valeur d’une perception approfondie du portrait de Marilyn Monroe pour dénoncer la connotation superficielle étiquetée à ce personnage. Selon l’auteur de l’article, cette icône du sexe et de l’érotisme cache tout un univers de symboles se rapportant aux images sociales du genre, de la race, de l’hygiène, etc. Nous rajoutons à la liste de Lois W. Banner que le visage de Marilyn Monroe révèle aussi d’autres images sociales, comme celle de la jeunesse.
L’œuvre Diptyque Marilyn se répartit en carrés comportant chacun le visage de Marilyn. L’image en question est extraite de la photographie en noir et blanc prise par Gene Korman, en 1953, pour promouvoir le film Niagara5. Le cadrage serré choisi par Andy Warhol sépare la tête du corps photographié et met en valeur le visage de Marilyn Monroe. L’artiste s’est servi de la technique de la sérigraphie pour reproduire son visage, c’est-à-dire un ensemble de traits simplifiés et de masses de couleurs éclatantes. Selon lui, la réduction du portrait à des formes plastiques épurées « aurait pour effet de séparer l'image des significations qu'on lui attribue pour n'en conserver que l'apparence, l’“image pure” » (Pique, Paquet, 2009, p. 6). Néanmoins, la pureté de l’image ne concerne que la forme plastique et l’image conserve une charge significative, ce qui montre que l’attribution de l’adjectif « pure » à une image reste à discuter.
Dans la plupart des textes portant sur l’œuvre Diptyque Marilyn, il est indiqué que la mort subite de la jeune célébrité est la raison pour laquelle Andy Warhol lui a consacré une de ses œuvres. Pourtant, l’intérêt que porte l’artiste pour cette icône n’est pas aussi trivial, car le portrait découle d’une perception nouvelle que l’artiste a de la célèbre Marilyn Monroe : il aurait tenté dans son œuvre de dépouiller le portrait de Monroe de tout symbolisme pour que le personnage soit démythifié. Par contre, Barthes affirme dans son ouvrage Mythologies que : « le pouvoir majeur du mythe [est] sa récurrence » (Barthes, 1970, p. 208). Ainsi, la duplication du visage de Marilyn Monroe n’a entrainé que sa mythification. D’ailleurs, « [p]ar ses appropriations et répétitions des clichés américains, il livre, avec le pragmatisme mécanisé de la sérigraphie, l’œuvre d’art à un système désenchanté » (Pique, Paquet, 2009, p. 5). Or, comme Marilyn Monroe est décédée dès son jeune âge, les signes de la jeunesse ne manquent pas dans Diptyque Marylin. D’abord, les couleurs éclatantes et lumineuses de l’œuvre évoquent une vivacité. Ensuite, le large sourire qui se distingue sur son visage dégage une atmosphère d’enthousiasme qui ne peut émerger que d’un être jeune et vif. Enfin, le motif modulaire constitué par le visage de Marilyn Monroe « et qui varie sans cesse tout en restant le même » (ibid., p. 6) confirme le caractère identique de la sérialité. Or, l’un des aspects de la jeunesse réside dans le fait d’être identique et de ne pas subir les méfaits du temps.
Ainsi, Andy Warhol n’a pas réussi à séparer l’image de sa signification, puisque, même démultiplié et « mal » dessiné, le visage de Monroe garde encore tout un univers significatif : celui de la jeunesse immaculée. D’abord, la multiplication du visage de Marilyn Monroe l’immortalise. Ensuite, le sourire dessiné sur son portrait et accentué par les contours rouges met en valeur la présence d’une expression sur le visage. Même si les couleurs diffèrent d’un carré à un autre, les traits semblent être les mêmes sur chacun des visages. Cette ressemblance — même si elle est partielle —finit par constituer le stéréotype. La représentation démultipliée de Marilyn Monroe revendique le désir d’immortalité. D’ailleurs, la répétition du visage sur toute l’œuvre nous rappelle le processus du clonage — cette illusion scientifique qui fait croire à l’être humain que son rêve d’être immortel se concrétisera un jour s’il se reproduit identiquement et d’une manière illimitée. Par ailleurs, dans cette illusion d’un « invariant » (Tisseron, 2001, p. 94) se concrétise l’image de la jeunesse.
Cette image de la jeunesse immaculée révélée par le visage de Marilyn Monroe dans l’œuvre d’Andy Warhol est reprise, selon nous, dans le portrait de Madonna qui apparaît sur la couverture de son album Celebration, une compilation d’anciennes chansons.
L’aspect visuel de l’album, paru en septembre 2009, est réalisé par l’artiste Pop Art américain Mr. Brainwash. Le portrait final de la chanteuse est une combinaison de deux de ses photos qui datent des années 1980 : la période pendant laquelle Madonna reprenait le look Marilyn Monroe. Les photos ont été superposées pour obtenir ce visage qui, au premier regard, nous renvoie à celui d’une Marilyn Monroe aux cheveux blonds, aux lèvres rouges et au regard séducteur. Malgré que les cheveux de Madonna soient courts et le sourire soit plus discret, le portrait ressemble beaucoup à celui de Marilyn Monroe. En effet, le choix des images de Madonna pendant sa trentaine n’est pas anodin; celles-ci représentent la chanteuse pendant sa jeunesse et rappellent l’âge de Marilyn Monroe sur la photo reproduite par Andy Warhol.
La reprise de l’image de Marilyn Monroe par celle de Madonna sur la pochette de l’album confirme le symbolisme de cette icône et s’accorde parfaitement avec la représentation de la célébration de la vie et de la jeunesse véhiculée par l’album. En effet, en 2009, Madonna a atteint l’âge de cinquante et un ans, mais elle cherche toujours à apparaître jeune. Sur le site « lacoccinelle.net », un bref passage décrit la chanson « Celebration » : « Cette chanson hyper rythmée et super dansante montre bien que Madonna voit la vie en rose en ce moment […] Dans le 2ème refrain, Madonna parle enfin de célébration. On remarque alors que la fête à laquelle elle se trouve n'est autre qu'une célébration de la vie. Madonna aime la vie, elle aime sa vie, et le fait bien savoir dans cette chanson! 6 » Même si, à travers les paroles de sa chanson, Madonna associe son portrait à la séduction et au désir de vivre, elle réitère également le regard séducteur et le sourire éternel : les mêmes traits que nous avons remarqués sur le portrait de Marilyn Monroe. Ces traits servent à véhiculer un message spécifique : le refus de la vieillesse et la préférence pour la séduction et le stéréotype de la jeunesse.
Maintenant que nous avons analysé Diptyque Marilyn d’Andy Warhol, puis le portrait de Madonna à la manière Marilyn Monroe, nous nous arrêterons finalement sur les quelques portraits d’Alix Bénézech, où le visage de Marilyn Monroe est suggéré à travers le look adopté par l’actrice. Dans l’ensemble, les photos d’Alix Bénézech reproduisent non seulement le visage souriant de Marilyn Monroe à la peau blanche et aux lèvres couvertes d’un rouge intense, mais elles démultiplient cette image dans le cadre d’un album photo virtuel. Quoique les photos ne soient pas toutes identiques, le processus de la répétition est, certes, présent. C’est ainsi qu’une forme de stéréotype est constituée. L’album photo est réalisé lors d’une séance pour la participation de la jeune actrice dans la série télévisée PARISK, où elle portait le nom de LiliMarylin. Le visage jeune, souriant et charismatique de Monroe réapparaît ici dans les années 2000, dans la mesure où il coïncide avec le portrait d’Alix Bénézech.
Si dans l’œuvre de Warhol, un motif unique constitue le tableau en veillant sur une ressemblance des traits du visage de Marilyn Monroe dans toute la série, dans les photos d’Alix Bénézech, la plasticité de l’image et l’expression du personnage varient d’une photo à une autre. Nous trouvons alors des photographies en couleurs et d’autres en noir et blanc sur lesquelles nous apercevons tantôt un large sourire, tantôt, un sourire plus discret. Néanmoins, les cheveux blonds, les lèvres couvertes d’un rouge intense et la peau blanche et très lisse mettant l’accent sur une apparence jeune restent distingués et invariables sur toutes les photos. Nous remarquons donc à quel point le visage de Marilyn Monroe incarne l’icône d’une apparence jeune et comment il sert de moyen pour commercialiser des figures féminines qui à leur tour peuvent se transformer par la suite en stéréotypes.
Le visage mythique de Marilyn Monroe qui, selon notre étude, représente à biens des égards une jeunesse qui refuse le processus du vieillissement naturel, ne se rattache plus essentiellement à une époque ou à un personnage mais à une image féminine qui ne cesse de s’actualiser tout en se répétant. Or, si le visage de Marilyn Monroe est repris malgré la présence des nouvelles apparences travaillées par tant de visagistes contemporains, c’est parce qu’il consiste, au fond, en une image de la jeunesse et de la beauté. Dans un rapport paru en 2001, le Réseau québécois de la santé de la femme décrivait le dénigrement de la vieillesse par les publicités :
Si on combine les publicités sur les produits et les ressources consacrés à la peau, on constate que jeunesse et minceur sont maintenant à égalité au niveau des critères de beauté. Pour prévenir ou remédier aux signes du vieillissement on nous dicte la voie à suivre avec la rigueur du petit catéchisme et un vocabulaire assez évocateur, […]. Les signes du vieillissement sont perçus comme une calamité que l’on doit « corriger ». Il ne serait pas étonnant que l’industrie du rajeunissement supplante avant longtemps celle des régimes amaigrissants. C’est certainement plus payant, car si nous n’avons pas toutes du poids à perdre, toutes, nous vieillissons (Réseau Québécois d’action pour la santé des femmes, 2001, p. 18-19).
De cette façon, les médias se joignent à l’art pour contribuer davantage à faire de la jeunesse une valeur incontournable de l’idéal féminin. D’ailleurs, les médias nous rappellent beaucoup les processus de la duplication et de la répétition qui sont utilisés par Andy Warhol dans son œuvre Diptyque Marilyn. En effet, les stéréotypes qui sont proposés par la société de consommation sont inlassablement diffusés par différents types de médias.
Enfin, le visage de Marilyn Monroe — le stimulateur des objectifs dans les studios des années 50, le motif ornant l’œuvre de Warhol et le faciès imité par d’autres célébrités — est un portrait indubitablement expressif. Cependant, un autre portrait suscitant l’intérêt des imitatrices se cache derrière le visage souriant et séduisant de la jeune blonde. Selon Roland Barthes, le mythe constitue une chaîne perpétuelle de mythification où toute valeur révélée par un mythe se transforme à son tour en un mythe dans un processus sans fin. À cet effet, nous estimons que le mythe Marilyn Monroe a entrainé le mythe de la jeunesse et de la beauté féminines.
N’oublions pas que l’art et les médias contribuent considérablement à nourrir ce mythe et à assurer sa continuité en multipliant l’image d’un stéréotype féminin dans les magazines, la télévision, les sites Internet et les réseaux sociaux, etc. Celui-ci ne promeut qu’une apparence de la jeunesse faisant de la vieillesse un symbole de la laideur. Néanmoins, certains critiques s’opposent au phénomène de stéréotype de la jeunesse pour rappeler que les femmes ont besoin d’une image objective de l’apparence féminine. Certes, les médias prennent de plus en plus conscience de l’importance de la diffusion d’une image réaliste de la femme pour représenter la gente féminine dans toutes ses apparences et tous ses âges et briser les formes de discrimination entre les femmes. Cependant, nous souhaitons voir des figures de vieilles dames comme présentatrices d’émissions télé, comme figurantes dans des publicités qui promeuvent autres produits que les assurances vie, les maisons de retraite et les médicaments.
Barthes, Roland. 1970. Mythologies. Paris : Édition du Seuil, 233 p.
Perrot, Philippe. 1984. Le travail des apparences : Le corps Féminin XVIIIe - XIXe siècle. Paris : Édition du seuil, 281 p.
Tisseron, Serge. 2001. L’intimité surexposée. Paris : Éditions Ramsay, 179 p.
W. Banner, Lois. 2008. « The Creature from the Black Lagoon : Marilyn Monroe and Whiteness ». Cinema Journal, vol. 47, no 4, p. 4-29.
Les Abattoirs, Service Educatif. 2009. Andy Warhol / « Marilyn Pop », Pique, Pascale et Poquet, Hélène, série HORS LES MURS, France.
Réseau Québécois d’action pour la santé des femmes. Canada. 2001. Changements sociaux en faveur de la diversité des images corporelles. Québec.
En ligne : http://fr.wikipedia.org/wiki/Marilyn_Monroe, http://en.wikipedia.org/wiki/Marilyn_Monroe, consulté le 29.06.2011.
Le mythe Marilyn Monroe, en ligne : http://www.aufeminin.com/sorties-cinema/marilyn-monroe-biographie-filmographie-f32905.html, consulté le 29.06.2011.
Marilyn Monroe, l’icône blonde, en ligne : http://www.femmescelebres.com/marilyn-monroe-licone-blonde/, en ligne : http://www.ecrannoir.fr/stars/legendes/monroe/index.html, consulté le 29.06.2011.
Marilyn Monroe Fan club, Facebook, en ligne : http://www.facebook.com/pages/Marilyn-Monroe-Fan-Club/25098089848, consultée le 29.06.2011.
Marilyn Monroe, Facebook, en ligne : http://www.facebook.com/MarilynMonroe, consultée le 29.06.2011.
Madonna Celebration Album Cover, en ligne : http://amygrindhouse.com/madonna-celebration-album-cover-tracklists.html, consulté le 15/01/2011.
Diptyque Marilyn, 1962, Andy Warhol, sérigraphie et acrylique sur toile, en ligne : http://www.blogg.org/blog-75876-date-2009-02.html, consulté le 19/10/2010.
« photos blonde », Album Facebook, en ligne : http://www.facebook.com/alix.benezech?ref=ts#!/alix.benezech?v=photos&sb=8, consulté le 08/03/2010.
En ligne : http://www.lacoccinelle.net/300043.html, consulté le 15/01/2011.
En ligne : http://fr.wikipedia.org/wiki/Niagara_(film,_1953), consulté le 13/03/2011.
Les photos d’Alix Bénézech, en ligne : http://www.myspace.com/lilimarilyn/photos/albums/mes-photos/574283#mssrc..., consulté le 11/07/2011).
Aoun, Rania. 2011. « L’icône féminine : de la mythification du visage de Marylin Monroe à la mythification de la jeunesse », Postures, Dossier « Vieillesse et passage du temps », n°14, En ligne <http://revuepostures.com/fr/articles/aoun-14> (Consulté le xx / xx / xxxx). D’abord paru dans : Postures, Dossier « Vieillesse et passage du temps », n°14, p. 59-68.